Actions et axes de travail

Martyre

Marie-Bernadette Philippon souffre de la maladie d’Alzheimer, elle s’est mise à danser et sa danse apparaît comme un nouveau langage. Le corps parle malgré qu’il soit contraint ou empêché. 
Sa danse nous fait voyager à travers les espaces, le privé et le public, le contraint et l’infiniment grand, l’intime et le monde. Que reste-t-il de nos mémoires communes ou singulières?
En contrepoint, la partition menée par Malika Djardi, sa fille qui est chorégraphe et danseuse, est un parcours rythmique et raconté. Quels gestes transmet-on? D’où proviennent-ils ?
Dialoguant avec la pratique détournée de danses sociales, un questionnement se dégage sur nos engagements et les souffrances que l’on traverse au court d’une vie à la fois destructrices et porteuses.

Parole d'artiste

Ses dernières créations

JEU 4 & VEN 5 AVR à 20h au Studio du Dancing - dans le cadre du festival Art Danse 2024